Plus d'informations sur Choucha
S'il vous plaît noter: Dans la version anglaise et francaise dans ce site il y a aussi des videos, articles et infos sur la situation au camp de choucha et sur les luttes de ses habitants. En plus le renvoi aux les cinq sites suivants avec d´autres rapports sur Choucha:
Solidarity with Fighting Refugees in Choucha/Tunisia Ce site est crée recemment à l´occasion de protestations des refugies de Choucha. C´est principalement en anglais et informe sur les acutalités.
Facebook Choucha Solidarity En plus il y a cette page de solidarité au facebook avec des photos, vidéos, courts rapports en grand nombre sur les protestations (surtout en langue anglais, francais et arabe).
Le ministère de la Défense tunisien confirme l’évacuation imminente de 114 réfugiés du camp de Choucha
Publié par Perrine Massy le 14 octobre 2014, webdo
Le camp de réfugiés de Choucha, dans le sud de la Tunisie, va être évacué “le plus tôt possible, mais pas demain, c'est une question de procédure et d'organisation”, nous a assuré ce mardi 14 octobre le lieutenant-colonel Belhassen Oueslati, porte-parole du ministère de la Défense.
“L'évacuation fait l'objet de plusieurs réunions. Je ne peux rien vous dire mais la procédure est en cours”, a-t-il ajouté.
Le blog “Voice of Choucha”, tenu par des résidents du camp, a pourtant indiqué dans un post publié le 6 octobre dernier que des représentants de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et du Croissant rouge tunisien (CRT), en visite au camp de Choucha le 3 octobre, avaient informé les réfugiés que celui-ci serait évacué demain, le 15 octobre.
Cela n’est pas une vie (La Terre est pour Tous: 10.09.2013)
Reportage de Choucha.
Juin 2013, L’UNHCR et le gouvernement tunisien ont annoncé la fermeture du camp de Choucha avec un accord sur les derniers réfugiés restés au camp après deux ans et demi de son ouverture: 600 personnes, à-peu-près. On peut imaginer combien de contacts ont été nécessaires pour parvenir à négocier cet accord rendu public le 17 juillet 2013. Le gouvernement tunisien reconnait la possibilité de rester sur son territoire aux réfugiés reconnus par l’UNHCR mais exclus du programme de réinstallation dans d’autres pays ainsi que aux demandeurs d’asile auxquels l’UNHCR n’a pas reconnu le statut de réfugiés. D’une façon ambiguë, ne permettant guère de comprendre si aussi le second groups est concerné, le ministère des affaires sociales annonce, dans le même contexte, que les réfugiés auront droit à l’hébergement et à l’emploi.
Camp de Choucha : Le gouvernement tunisien doit prendre la relève (Nawaat: 02.01.2013 )
Par Sana Sbouaï
Le camp de Choucha est encore ouvert pour quelques mois mais en juin 2013 il fermera. D’ici là la plupart des personnes ayant le statut de réfugié et ayant bénéficié d’un programme de réinstallation seront parties. Restera à régler la situation des réfugiés non réinstallés et celle des personnes déboutées. Lors d’une conférence de presse à l’occasion de la journée des migrants, au mois de décembre dernier, Adellatif Hedhlil, du Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux déclarait que : « La situation du camp de Choucha est aussi bien un problème humanitaire que juridique. Si le UNHCR s’est retiré le gouvernement tunisien doit prendre la relève.
Quel avenir pour les réfugiés bloqués en Tunisie ? (Radio Kalima: 12.12.2012)
Cette fois, c'est décidé. Le Haut-commissariat aux réfugiés l'a décrété : le camp de Choucha devra fermer en juin 2013. Mais que vont devenir les 400 réfugiés restants et surtout les 300 demandeurs d'asile dont la demande a été refusée ? Enquête. Par Zoé Deback
Le camp de Choucha, sur le point de fermer après plus de deux ans d'existence, constitue une exception dans l'histoire de la Tunisie. « L'afflux de réfugiés en 2011, une première dans le pays, a été bien géré jusqu'ici, estime Khalil Zaouïa, ministre des Affaires sociales, dans un entretien accordé à Kalima. « A présent il faut continuer à préserver l'image de terre accueillante de la Tunisie, mais elle n'est pas destinée non plus à accueillir toute la misère du monde ».
Tunisie: les réfugiés toujours dans l'attente (Slate Afrique: 16/05/2012)
Par Sophie Janel
Abdulrezak déjeune avec trois autres Somaliens derrière le comptoir d’une petite échoppe qui vend des shampoings, des tubes de dentifrice et autres produits. Ce jeune homme de 27 ans est le leader de sa communauté dans le camp de réfugiés de Choucha, situé dans le sud de la Tunisie, à la frontière libyenne.
Ouvert peu après le début de la guerre en Libye (de février à octobre 2011), ce camp du Haut Commissariat pour les Réfugiés des Nations Unies (UNHCR) accueille toujours près de 3.000 personnes, sur les 17.000 présentes au début. Depuis, la vie s’est organisée. Le Danish Refugee Council «apporte de la bonne humeur», note Abdulrezak arrivé à Choucha le 3 mars 2011, des petits magasins ont ouverts, «il y a même un restaurant dans le secteur soudanais».