Bref rapport sur les actions concernant Choucha
Ce matin nous étions au bureau du HCR à Tunis, où des réfugiés de Choucha, qui sont accepté, mais pas réinstallé, font un sit-in dépuis presque 6 mois. Avec une délegation de deux allemandes, deux italiennes et un réfugiés de Choucha nous avons demander de parler avec un_e responsable du HCR et Julia Gouyou Beauchamps, administratrice chargée des relations exterieures, a parlé une heure avec nous. D'abord on a demandé concernant les 15 places pour une réinstallation, qui étaient mentionnés dans un journal “Sabah” du 2 sept. Elle a dit que c'était un malentendu et il ne s'agit pas des places nouvelles, mais des réfugiés qui attendent dépuis longtemps pour étre réinstallés aux Etats Unies et au Canada.
Après on a discuté sur les problèmes de l'integration locale et des refugiés, qui la réfusent et sont toujours à Choucha, des réfugiés deboutés et de la situation en Tunisie, qui n'est pas stable et il manque une loi concernant les réfugiés. On a demandé la réinstallation dans des pays surs pour tous. On a aussi demandé si c'est vrai que le camp de Choucha sera évacué vers la fin du septembre – elle a dit qu'elle ne sait pas, parce-que l'armée tunisienne est responsable. Elle a donné des chiffres: 135 réfugiés acceptés sont toujours à Choucha et à peu près 262 deboutés. Nous avons donné beaucoup d'examples pourquoi les réfugiés de Choucha ont besoin d'une autre solution que l'integration locale, qui ne fonctionne pas, et pourquoi nous luttons pour une réinstallationpour tous dans des autres pays avec des lois d'asile et des droits pour les réfugiés.
Après nous sommes allés à la Délegation Européenne avec des banderoles et nous avons aussi demandé d'entrer avec une délegation. Après quelques temps, deux personnes pouvaient entrer et parler avec Alexandre Zafiriou, Ministre Conseiller, qui a lu les articles avec des chriffres de réinstallations, que nous lui ont donnés et a posé des questions concernant la situation à Choucha et si nous ètions déjà aux embassades européens? Nous l'avons demandé de soutenir les réfugiés en parlant avec des résponsables des pays européens, et il l'a promis… Pendant ce temps, les autres étaient toujours devant le batiment avec les banderoles, et beaucoup de gens les ont vu. On a rapporté aux réfugiés de ce qu'on a parlé et fini l'action.